L'heure est vraiment aux communautés virtuelles en matière de navigation et de géolocalisation. Ceux qui utilisent Google Maps avec un Smartphone équipé d'un récepteur GPS (par exemple, l'iPhone mais pas seulement) renvoient en fait à Google des infos de première main sur le trafic. En récupérant une foule de donnéees, recueillies anonymement depuis les mobiles, et en calculant la vitesse de déplacement, le géant de l'Internet peut avoir une idée précise de l'état réel de la circulation. Google en fait une synthèse et donne ensuite l'info aux utilisateurs de ses cartes. C'est déjà le cas aux USA et ça suivra ensuite dans le reste du monde. CQFD.
L'info trafic utilisant des mobiles "traceurs" va renvoyer à la préhistoire les capteurs sur les routes dont se gargarisaient à une époque les services de l'équipement, mais qui sont coûteux et nettement insuffisants.
Autres temps, autres moeurs...
