Premier constat : un GPS nomade ça fonctionne, même depuis un hélico. Un TomTom GO à la main, j’ai pu constater que le système de navigation savait parfaitement où il était et qu’il affichait bien les difficultés quand il y en avait. Pour l’anecdote, ce n’est pas tous les jours qu’on peut faire le tour du périphérique à près de 130 km/h (comme on le voit sur la photo) et même par moments à 200 km/h. L’avantage, c’est que depuis le ciel, on ne risque pas de se prendre un radar.
Et le trafic vu du ciel, ça donne ça.
Voir l'album photo du trafic vu de l'hélico : http://s.joomeo.com/5297a135c2684
Une fois de retour sur le plancher des vaches, nous avons eu droit ensuite à un exposé. L’objet n’était pas de nous dire que TomTom lançait un service de surveillance du trafic par hélicoptère (ni avec des drones d’ailleurs), mais de nous faire comprendre à quel point ce service était précis. Car, le service Traffic HD ne se contente pas d’indiquer s’il y a ou non des bouchons, il précise exactement où ça commence. Un système d’alerte a d’ailleurs été mis en place pour inciter à ralentir, puis à freiner, avant d’arriver sur le bouchon. Les autres avancées sont l’affichage des zones de chantier et le signalement des routes fermées à la circulation.
Par ailleurs, une nouvelle fonction « Flux prévisionnel de circulation » permet d’anticiper avec plus de précision les ralentissements que les conducteurs pourront rencontrer sur leur trajet et optimiser en fonction le calcul du parcours le plus rapide et l’estimation de l’heure d’arrivée.
Conclusion : l’information trafic est de plus en plus performante.
*J'en profite pour signaler la sortie d'un ouvrage, intitulé "Périphérique mon amour". Ce livre, publié par les éditions du fil conducteur, présente cet axe célèbre à travers des photos.
Lien : http://www.cyruscom.net/filconducteur/index.php?lng=fr
